#LesVisagesDuQuotidien
Leurs visages ne vous sont pas inconnus car vous les croisez au quotidien. Les commerçants tiennent une part importante dans le dynamisme de nos centre-bourgs. Camille Chauvin, chargée de développement de centre-ville, tire le portrait des nouveaux arrivants pour vous permettre de mieux les connaître.
N°1 - Mickaël
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Connaissez-vous Mickaël ?
Il est récemment arrivé dans la commune et son visage vous dit peut-être quelque chose. Normal...Il est pharmacien au Pin-en-Mauges !
Nous l’avons rencontré pour vous.
Qui êtes-vous ?
« J’habite dans le vignoble nantais. J’ai fait mes études de pharmacie à Nantes. J’ai toujours travaillé à Sainte-Luce-sur-Loire depuis 2004 ».
Comment êtes-vous arrivé au Pin-en-Mauges ?
« C’est le hasard qui m’a amené ici. Au départ, j’avais un projet de collaboration avec une amie de fac qui, pour différentes raisons, n’a pas abouti. Par le bouche à oreille, j’ai eu vent de la vente de la pharmacie de Mme Baranger. Les projets de développement alors amorcés m’ont séduit et convaincu ».
Comment avez-vous été accueilli ?
« L’accueil au Pin-en-Mauges a été très agréable. La patientèle a semblé soulagé par la reprise de l’officine. Mme Colineau, maire délégué, a soutenu le projet en partenariat avec les services de Mauges Communauté et de Beaupréau-en-Mauges ».
Des projets pour l’avenir ?
« La pharmacie va être transférée dans le nouvel espace commercial du Pin-en-Mauges. Si tout se déroule comme prévu, nous intégrerons nos nouveaux locaux avant la fin de l’année 2020. Il y a aussi le développement de nouvelles activités que confient les autorités de santé aux pharmaciens et le développement des partenariats avec les acteurs locaux : EHPAD, institut, etc ».
Un p'tit + ?
Mickaël espère bien pouvoir mettre ses compétences en orthopédie au service de vos bras, jambes, etc. Les entorses n’ont qu’à bien se tenir !
N°2 - Déborah
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Connaissez-vous Déborah ?
Elle s'est installée dans la commune et son visage vous dit peut-être quelque chose. Normal... Elle est esthéticienne à Jallais !
Nous l’avons rencontrée pour vous.
Qui êtes-vous ?
"Je suis native de Saint-Florent-Le-Vieil et je vis à Jallais depuis plus de 20 ans. J’étais esthéticienne à domicile avant d’ouvrir l’institut de beauté et spa Ô Sublime."
Quel est le concept de votre institut ?
"En plus des prestations traditionnelles, Ô Sublime propose un espace spa, hammam et sauna. C’est un concept que l’on retrouve généralement dans les grandes villes. Je trouvais que cela manquait à nos petites communes. Mon salon est aussi axé sur le bio, son univers mélange nature et élégance pour vous offrir un moment d’évasion dépaysant et relaxant. C’est aussi une idée cadeau pour les anniversaires ou les fêtes de fin d’année, je propose des cartes cadeaux Ô Sublime."
Comment avez-vous pensez votre institut ?
"Passionnée par mon métier, j’ai puisé des idées lors d’expériences vécues pendant mes voyages. Celles-ci m’ont amenée à penser un institut avec des murs arrondis, ce qui procure à ma clientèle un sentiment de douceur et de bien-être."
Comment avez-vous été accueillie à Jallais ?
"J’ai été très bien accueillie ! Les jallaisiens ont été très surpris de voir la réhabilitation qui a été réalisé dans l’ancien centre de santé de Jallais 20 boulevard Audureau, pour le transformer en centre de bien-être haut de gamme accessible à tous. Ma clientèle est très heureuse de pouvoir trouver dans les Mauges les mêmes services que dans les grands centres urbains."
Un p'tit + ?
Depuis ses débuts, Déborah travaille avec des produits bio. Elle a été précurseur dans ce domaine pour le bien-être de ses clients.
En réalité, elle a même 2 petits + ! Déborah est maquilleuse partenaire pour le Comité Miss France.
N°3 - AMANDINE
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Connaissez-vous Amandine ?
Elle s’est installée dans la commune et son visage vous dit peut-être quelque chose. Normal... Elle est fromagère et restauratrice à Beaupréau, nous l’avons rencontrée pour vous.
Qui êtes-vous ?
« Originaire de Cholet, j’ai grandi « dans les champs » de Saint-Macaire-en-Mauges et j’habite maintenant au Fief-Sauvin. J’ai suivi des études d’hôtellerie restauration puis je me suis spécialisée dans la sommellerie. Après avoir travaillé dans une cave qui proposait aussi de la fromagerie-crèmerie, j’ai eu envie de m’installer et d’allier tout ce qui me plaît : le vin, le fromage et la restauration, et de les concilier avec une vie de famille ! De là est née l’idée du comptoir à fromage ».
Justement, pouvez-vous nous parler de votre boutique ?
« Chez Augustine est un comptoir à fromage. On peut y acheter du fromage, de la crèmerie et du vin mais aussi déguster ces produits sur place à l’occasion d’un déjeuner, d’un after-work ou encore lors d’une soirée-concert. C’est un peu compliqué de parler du concept car il est perturbé en ce moment par la crise sanitaire mais nous nous sommes adaptées assez facilement, vu le succès de la vente de fromage à emporter ».
On a tendance à confondre Amandine et Augustine. Pourquoi avez-vous choisi l'enseigne « Chez Augustine » ?
« C’est le prénom de mon arrière-grand-mère qui aimait beaucoup manger, recevoir et passer de bons moments à table. Chez Augustine, on accueille les clients comme s’ils allaient chez leurs grands-parents. C’est d’ailleurs ce qui a définit nos choix de déco réalisée avec beaucoup de récup‘ ! ».
Comment avez-vous été accueillie dans la commune ?
« Nous avons été très bien accueillies par les habitants de Beaupréau et des alentours qui sont gourmands. On peut compter sur eux malgré la fermeture du bar/restaurant, ils répondent présents pour la vente à emporter. D’ailleurs, notre équipe s’étoffe et nous seront bientôt 3 pour vous recevoir dans de meilleures conditions. Cela nous permettra aussi d’aller au bout de nos idées ».
Un p'tit + ?
Avec un large choix de produits (entre 50 et 80 variétés de fromage), Amandine cherche toujoursAvec un large choix de produits (entre 50 et 80 variétés de fromage), Amandine cherche toujoursà surprendre ses clients.Elle s’attache à proposer en permanence des petites nouveautés et de bons produits locaux.
N°4 - YOLANDE
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Connaissez-vous Yolande ?
Elle a récemment ouvert la boutique de glaces Délice Absolu dans le quartier Saint-Martin à Beaupréau... Entrepreneuse complète, elle est agricultrice et pâtissière -glacière, nous l’avons rencontrée pour vous !
Qui êtes-vous ?
« Arrivée au Fief-Sauvin il y a 11 ans, j’ai suivi une formation agricole à la maison familiale de Jallais. Diplômée technicienne agricole en 2012, je me suis installée avec mon conjoint en 2013. J’aime particulièrement cuisiner. Pour améliorer notre train de vie et apporter une valeur ajoutée à notre lait, nous avons eu l’idée de le transformer en produisant des glaces. J’ai passé un CAP pâtisserie avec plusieurs spécialisations et suivi une formation de glacier. Je suis maître-glacier depuis le début de l’année. La glace est une science très spécifique, la méthodede production est difficile à acquérir. J’ai mis un an pour mettre au point toutes mes recettes ».
Justement, pouvez-vous nous parler de votre commerce ?
« Ouvrir notre propre magasin est une envie de longue date pour commercialiser autrement qu’au travers des grandes surfaces ou magasins de producteurs. La boutique Délice Absolu nous permet d’avoir un lien direct avec nos clients et de mieux les connaître, habitués à venir à la ferme ou non, ils peuvent aussi toujours le faire sur rendez-vous. Nous commercialisons pâtisseries et glaces mais nous pouvons aussi préparer des gâteaux adaptés aux envies de nos clients pour des évènements comme les mariages ou pour les cantines scolaires. Pour les fêtes de fin d’année 2020, nous avons produit 1 600 bûches. Généralement, on ne dort pas beaucoup pendant cette période… ! Les habitants de la commune et de ses alentours nous ont très bien accueillis. Ils sont au rendez-vous de la gourmandise que ce soit à la boutique ou à la ferme ! ».
Votre entreprise est une affaire de famille, pouvez-vous nous en dire plus ?
« En plus de travailler en couple, nos trois enfants ont rejoint l’aventure. Mon mari s’occupe de l’exploitation agricole.Avec l’aide de mon fils Lorgany, devenu pâtissier en 2020, je transforme le lait en glaces et pâtisseries. Notre fille Lorgania s’occupe du marketing et des packagings. Notre seconde fille Lorganie travaille au magasin, elle accueille la clientèle et vend nos produits. Ce fonctionnement bien rôdé assure la pérennité du commerce car mon fils peut prendre le relais en cas d’empêchement. Nous travaillons autour de valeurs communes en utilisant le plus possible de produits locaux et en essayant d’être éco-responsables. ! ».
Un p'tit + ?
En plus des glaces sucrées,Yolande développe une gamme de glaces gastronomiques pour accompagner les mets de grands restaurateurs mais aussi des cuisiniers amateurs. Elle proposera aussi bientôt des glaces sans lactose à base de riz, de coco… Ceci permettra aux gourmands intolérants ou allergiques de se régaler !
N°5 - EMELINE
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Connaissez-vous Emeline ?
Elle s’est installée dans la commune et son visage vous dit peut-être quelque chose. Normal... Elle est coiffeuse à Villedieu-la-Blouère, nous l’avons rencontrée pour vous !
Qui êtes-vous ?
« Originaire de Nueil-les-Aubiers, je suis diplômée d’un CAP et d’un BP coiffure. J’ai grandi dans les Deux-Sèvres et j’habite désormais à Saint-Georges-sur-Loire. Après avoir travaillé dans différents salons pendant 11 ans à Tours, Thouars et Nueil-les-Aubiers, j’ai eu envie de m’installer et de devenir mon propre patron ! ».
Justement, qu’est-ce qui vous a poussé à reprendre ce salon ?
« Depuis toute petite, j’ai toujours rêvé d’ouvrir mon salon de coiffure. J’ai trouvé celui d’Annie Terrien via une annonce sur Internet. Afin de me faire connaître par sa clientèle et me familiariser avec le salon, je l’ai rejoint pendant deux semaines avant de reprendre l’activité. De plus, mon envie de revenir en campagne m’a poussée à m’installer ici pour retrouver un esprit familial et convivial. Je dois admettre aussi que j’ai eu un coup de coeur pour le salon ! ».
Quel est le concept de votre salon ?
« J’essaye de faire attention à l’environnement. Je fais partie de l’association « Coiffure Juste » qui recycle les cheveux en les transformant en boudin absorbant pour limiter les émissions d’hydrocarbures des bateaux. 1 kilo de cheveux peut absorber jusqu’à 8 litres de pétrole ! Cette technique permet de dépolluer la mer. Lorsque mes sacs de cheveux sont pleins, je les envoie à l’association qui se charge de les transformer. Pour les colorations végétales, les shampoings et les soins, je n’utilise que des produits 90 % naturels. À terme, je souhaiterai me convertir au 100 % naturels avec des soins faits de terre et d’eau nécessitant une pause plus longue. J’envisage également d’accueillir un(e) apprenti(e) au mois d’août pour m’épauler ».
Comment avez-vous été accueillie dans la commune ?
« J’ai été très bien accueillie par les habitants ! Je ne m’attendais pas à un tel accueil et cela m’a surpris puisque je ne suis pas native de la commune. Ici, les habitants ne viennent pas seulement pour se faire coiffer, ils s’intéressent à ce que je propose. De plus, la clientèle est restée fidèle après la reprise du salon, elle a continué à me faire confiance ».
Un p'tit + ?
En utilisant des produits naturels, Emeline cherche toujours à tendre vers le « Zéro déchet ». Elle s’attache à proposer en permanence des alternatives, par exemple, elle offre à ses clients la possibilité de recharger leurs bouteilles de shampoing (au maximum 3 fois).
N°6 - Magalie et Benoît
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Connaissez-vous Magalie et Benoît ?
Ils se sont récemment installés dans la commune et leurs visages vous disent peut-être quelque chose. Normal... Ils ont repris la boulangerie-pâtisserie de La Jubaudière, nous les avons rencontrés pour vous !
Qui êtes-vous ?
Benoît : « Originaire du Loiret, je suis diplômé d’un CAP boulanger. Magalie, ma femme, a une équivalence de diplôme dans le domaine de la vente. A 18 ans, je me suis installé à Pornic pendant 10 ans puis sur la côte. J’ai rencontré Magalie à Nantes dans une boulangerie, c’était un signe ! Nous sommes partis ensemble en Suisse, dans une petite station de montagne. Puis nous avons décidé de revenir en France et d’ouvrir notre boulangerie. »
Justement, pouvez-vous nous parler de votre commerce ?
« “Chez l’amour du pain”, on peut acheter du pain, des viennoiseries et des sandwichs maison. L’une de nos spécialités est le croissant maison, avec son beurre qui provient directement de la Laiterie de Montaigu, en Vendée. Nous proposons une gamme de pains variés et bons pour la santé, par exemple la meule ou bien encore la baguette au levain. »
Pourquoi avoir choisi La Jubaudière ?
« On cherchait un commerce dans les Mauges afin de se rapprocher de la famille de Magalie. Nous avons été mis en relation avec l’ancien maire de La Chapelle-du-Genêt et Franck Aubin, maire de Beaupréau-en-Mauges. Nous avons visité plusieurs locaux, dont un à La Poitevinière et un à Villedieu-la-Blouère. Notre coup de coeur a été pour la boutique de La Jubaudière, l’espace est assez grand pour le laboratoire et la partie vente. »
Comment avez-vous été accueillie dans la commune ?
« Nous avons reçu un accueil chaleureux des habitants, qui sont heureux d’avoir une boulangerie dans le centre-bourg. Ils sont très gourmands de nos brioches maison ! Ils apprécient particulièrement « La Jubaudière » à base de fleur d’oranger, de rhum et de vanille et notre seconde brioche à la praline de Lyon, un vrai régal pour les papilles. Nous envisageons d’aller au contact des entreprises locales pour les inviter à déguster et découvrir nos produits (pains, viennoiseries, sandwichs, pâtisseries …).»
Un p'tit + ?
« Chez l’amour du pain », tous les produits sont maison et faits avec amour. Afin d’assurer un service continu pour les habitants. Un distributeur à pain est aussi disponible, alimenté tous les matins par Benoît.
N°7 - Fanny et Sébastien
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Connaissez-vous Fanny et Sébastien ?
Ils se sont récemment installés dans la commune et leurs visages vous disent peut-être quelque chose. Normal... Ils ont repris l’ancien Café des Ponts de Beaupréau, nous les avons rencontrés pour vous !
Qui êtes-vous ?
« Sébastien : Fanny, a été danseuse à l’opéra de Paris et a dansé avec une compagnie privée en tant que soliste, avant de monter un centre d’Art et de danse avec son frère, en plein coeur de Paris. Je suis moi-même originaire de Beaupréau, né au château de Beaupréau. Après une école hôtelière à Noirmoutier, plus de 20ans à Paris, dont 14 ans de palace, dans le sud de la France et Londres, je suisrevenu aux sources fin juin. »
Quel est le concept du « Café des Ponts » ?
« Le concept est assez simple : c’est un lieu de vie, de convivialité et de partage. Notre carte comporte 75 références de vins différents qui proviennent de vignobles locaux (Maine-et-Loire, Loire-Atlantique, Vendée). Nous avons pensé le lieu de façon à ce que les clients se retrouvent « comme à la maison » et dans un esprit un peu Londonien. Nous avons cassé les codes d’un bar traditionnel en imaginant le lieu sans comptoir, avec des assises de velours. »
Comment avez-vous eu l’idée de reprendre ce café ?
« Le café des ponts a été fermé pendant 25-35 ans. J’y venais petit avec ma maman, en rentrant du stade de foot. Je connaissais ce lieu et son potentiel grâce à l’Èvre. C’est l’une des adresses ayant le plus « les pieds dans l’eau ». Il fallait redonner l’Èvre aux Bellopratains et repenser un lieu de vie pour tous. Lorsque je suis parti de Beaupréau, il y avait beaucoup de bars, de restaurants et à mon retour, beaucoup d’entre eux avaient fermé. Il y avait une attente des Bellopratains, d’un lieu comme celui-ci pour se retrouver. Les Bellopratains ont pu découvrir le lieu, qu’ils ne connaissaient pas puisque l’espace au bord de l’Èvre était privé auparavant. Ils redécouvrent l’Èvre, à laquelle ils sont très attachés ainsi que les trois arches du pont. »
Comment avez-vous été accueillis dans la commune ?
Nous avons été accueillis à bras ouverts par les Bellopratains étant donné que Sébastien est originaire d’ici, ses parents ne sont jamais partis de Beaupréau donc tout le monde les connaît. Les gens sont extrêmement gentils et bienveillants. Ils ont été ravis qu’un lieu comme celui-ci ouvre mais en plus que ce soit un bellopratain qui reprenne ce lieu emblématique. Les clients nous disent « merci » tous les jours, et ça,ça fait chaud au coeur ! « Merci pour le lieu, merci pour l’accueil, merci pour Beaupréau »
Un p'tit + ?
« Nous avons des clientsamateurs de vin mais aussi des gens, de 20 à 80 ans, qui ont envie de découvrir et nous souhaitons leur apporter nos connaissance des vins. C’est un lieu intergénérationnel pensé pour tous. Tout le monde s’y retrouve. Nous avons de bonnes bouteilles abordables ce qui permet aux plus jeunes de pouvoir se faire plaisir avec du bon vin. »
N°8 - Emilie
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Connaissez-vous Emilie ?
Elle s’est installée dans la commune et son visage vous dit peut-être quelque chose... Elle a créé l’Atelier des Petits Pois àVilledieu-la-Blouère, nous l’avonsrencontrée pour vous !
Qui êtes-vous ?
"Originaire de Cholet, j’habite à Villedieu-la-Blouère depuis 5 ans. Forte d’une riche expérience professionnelle dans l’enseignement, la vente et l’assistanat, j’avais besoin d’un nouveau challenge et entreprendre fait partie de mon ADN.Je suis très créative et la couture est une passion que je porte depuis mon enfance. J’avais envie de m’investir localement et de contribuer au dynamisme commercial de Villedieu-la-Blouère car je m’y sens bien."
Quel est le concept de votre boutique ?
"C’est une boutique qui valorise le travail des créateurs français mais pas que ! C’est aussi un lieu dédié à la couture, la mercerie et les loisirs créatifs.Certains produits sont confectionnés par des créateurs locaux et d’autres par moi-même. Les produits proposés dans la boutique sont travaillés de façon artisanale, en petite série, et sont très souvent des pièces uniques. Les clients peuvent facilement trouver un cadeau à offrir à un prix juste, fait main et fabriqué localement."
Pourquoi l’Atelier des « Petits Pois » ?
"On me pose souvent cette question, L’Atelier des Petits Pois car « les petits pois » on en trouve partout : sur le tissu, la papeterie… et j’aime beaucoup ce motif, c’est coloré et en plus, c’est un nom facile à retenir !"
Comment avez-vous été accueillie dans la commune ?
"J’ai été très bien accueillie par les habitants. Ils étaient ravis qu’une boutique comme celle-ci ouvre à Villedieu-la-Blouère. Au delà de la boutique, les services complémentaires que je propose plaisent : les retouches de couture, le point Mondial Relay et le service de retrait Crédit Agricole."
Un p'tit + ?
Prochainement vous retrouverez les produits des créateurs en vente sur le site Internet latelier-des-petits-pois.com Les horaires d’ouverture de la boutique ont été repensés. L’Atelier des Petits Pois est ouvert du mardi au vendredi de 10h à 12h30 et de 16h à 19h, le samedi de 10h à 12h30 et de 14h à 16h.
N°9 - Lucie et Nicolas
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Connaissez-vous Lucie et Nicolas ?
Ils se sont installés dans la commune et leurs visages vous dit peut-être quelque chose. Normal ... Ils ont repris la boulangerie-pâtisserie Le Champ des Pains à Andrezé, nous les avons rencontréspour vous !
Qui êtes-vous ?
Nicolas : « Natif des Rosiers-sur-Loire, je suis boulanger-pâtissier depuis 25 ans. Dans un premier temps, j’étais formateur indépendant en boulangerie-pâtisserie dans toute la France. Je me déplaçais chez les artisans boulangers pour de la formation interne, ainsi l’équipe formée n’était pas dépaysée. Nous utilisions le matériel habituel pour créer de nouveaux produits. J’arrivais avec des recettes et je repartais avec des recettes typiques de chaque région. C’était très enrichissant ! Ensuite, j’ai été formateur boulanger conseil pour le Moulin de Sarralbe. ».
Lucie : « Native de Jallais, je suis pâtissière-chocolatière. Nous avons vécu 8 ans en Alsace pour que je puisse exercer un travail dans le domaine de la chocolaterie. Le chocolat étant renommé dans cette région. »
Pouvez-vous nous parler de votre commerce ?
« Dans notre boulangerie, vous pouvez trouver des baguettes traditionnelles telles que la Tradition ou la Festive et également nos spécialités comme la baguette Milo. Sur la base de la Festive, elle est enrobée de semoule de maïs et de blé dur avec un sirop de malt. Nous proposons aussi des sandwichs avec différentes formules (petit-déjeuner, snacking, goûter). La fin de l’année est un temps fort car ayant vécu en Alsace, la capitale européenne de Noël, nous sommes revenus avec de nombreuses recettes : le pain d’épices, le Bredele, le Bretzel… pour faire découvrir de nouvelles gourmandises à nos clients ! Nous avons créé une bûche bleue, appelée l’Ardoisier, ce fut notre best-seller de Noël ! C’est une bûche à base de mousse chocolat bleue avec un insert caramel. Nous avons en quelque sorte revisité la spécialité angevine : le Quernon d’ardoise. Au quotidien, vous pouvez savourer le Macaronnais, ce gâteau comprend un biscuit aux amandes et des fruits de saison. Toutes nos pâtisseries sont faites maison, ainsi que la confiserie, les pâtes de fruit, le chocolat mais aussi nos glaces qui sont de retour aux beaux jours ! »
Pourquoi avoir choisi Andrezé ?
« Nous voulions revenir aux sources et nous rapprocher de nos familles. Nous avons deux enfants, il était donc important pour nous d’habiter à proximité de nos proches. Nous avons donc saisi l’opportunité de nous installer à Andrezé ! ».
Comment avez-vous été accueillis dans la commune ?
« Nous avons eu une très bonne passation avec M. Lambert, ancien gérant de la boulangerie. Pas simple de s’installer au milieu de la crise sanitaire car de nombreux événements ont été annulés mais nous avons été bien accueillis et soutenus par la commune. ».
Un p'tit + ?
Nous proposons un flan d’exception, celui-ci mérite le détour ! Nous avons même été contacté par des formateurs intéressés par notre recette dans le cadre d’un concours du meilleur flan .À noter dans vos agendas : nous fêtons nos 1 an d’installation les 10 et 11 septembre 2022 ! »
N°10 - Zélie
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Connaissez-vous Zélie ?
Elle s’est installée dans la commune et son visage vous dit peut-être quelque chose. Normal... Elle est fleuriste à Villedieu-la-Blouère, nous l’avons rencontrée pour vous.
Qui êtes-vous ?
« Je m’appelle Zélie Joyau. J’ai 21 ans et depuis toute petite, je suis passionnée par les fleurs. Je ne me suis jamais posée la question de ce que je voulais faire comme métier : j’ai toujours voulu être fleuriste pour l’aspect créatif du métier et le contact avec la clientèle ! J’ai commencé par un CAP suivi d’un Brevet Professionnel au centre de formation La Louisière aux Herbiers. J’ai réalisé ces années d’études en apprentissage à « L’olivier », une boutique de fleurs à Beaulieu-sur-Layon puis à « l’Atelier Nature » à Trémentines. Ensuite, je me suis directement installée à mon compte avec un atelier à la maison ».
Justement, pouvez-vous nous parler de votre boutique ?
« Dans ma boutique, on peut retrouver des plantes, des fleurs et de la décoration. J’essaie d’avoir des choses originales mais aussi des choses plus classiques. Je réalise des créations en fleurs séchées et des compositions avec du bois et de la récup’ ! Je réponds à tout type d’événement : mariage, deuil, baptême, anniversaire… J’offre la possibilité
de louer de la décoration comme une arche en bois pour les mariages. L’activité de la boutique est très importante au moment de la fête des mères, de la Saint-Valentin et de Noël »
Pourquoi avoir choisi Villedieu-la-Blouère ?
« C’était le hasard ! En passant à Villedieu-la-Blouère, j’ai vu que le local était à louer. J’ai donc saisi cette opportunité et j’ai ouvert ma boutique le 13 mai dernier ».
Comment avez-vous été accueillie dans la commune ?
« J’ai été très bien accueillie sur la commune. J’habite à La Boissière-sur-Èvre mais mon papa est né à Villedieu-la-Blouère donc les habitants sont nombreux à me dire : « Tu es la petite fille de … ?! ».
Un p'tit + ?
« Je propose également unservice de relais colis : Pick-up, Chronopost, Colissimo, DPD. »
N°11 - Mathilde et Julie
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Connaissez-vous Mathilde et Julie ?
Elles se sont récemment installées dans la commune et leurs visages vous dit peut-être quelque chose. Normal... Elles sont prothésistes ongulaires à Beaupréau, nous les avons rencontrées pour vous !
Qui êtes-vous ?
« Mathilde : Je suis native de la Salle et la Chapelle Aubry. J’ai démarré mon cursus scolaire par un CAP esthétique et un CQP spa praticienne massage (Certificat de Qualification Professionnelle) à l’école Silvya Terrade de Nantes, suivi d’une formation prothésiste ongulaire.
Julie : Native de Saint-Pierre-Montlimart, j’ai fait un BTS MUC, j’ai travaillé quelques années dans le commerce avant de faire la formation pour être prothésiste ongulaire ».
Qu’est-ce qui vous a poussé à ouvrir votre propre onglerie ?
« Agées de 23 ans, nous sommes toutes les deux filles d’entrepreneurs et nos familles ont été un réel soutien. Lorsque nous avons constaté l’engouement autour de la manucure, nous avons saisi l’opportunité de nous installer en ouvrant MJ l’Univers des Ongles le 14 mars dernier ».
Pouvez-vous nous en dire plus sur vos prestations ?
« Nous proposons principalement trois prestations pour les mains : le rallongement des ongles, le renforcement des ongles et le semipermanent. Nous réalisons aussi du « Nail Art » (dessin), du « Babyboomer » et de la french manucure sur ces trois prestations. Concernant les pieds, il est uniquement proposé du semi-permanent ».
Comment avez-vous été accueillies dans la commune ?
Nous avons trouvé par hasard ce local en faisant nos courses à Intermarché. Bonne ambiance et entraide caractérisent nos échanges entre commerçants. Nous sommes bien entourées !
Un p'tit + ?
« Nous proposons des cartes cadeaux que vous pouvez acheter directement en boutique ou sur notre site internet. »
N°12 - Sarah et Nicolas
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Connaissez-vous Sarah et Nicolas ?
Ils se sont récemment installés dans la commune et leurs visages vous disent peut-être quelque chose. Normal... … Ils ont ouvert le restaurant La Casa à Jallais, en lieu et place de l’ancien restaurant La Baraka. Nous les avons rencontrés pour vous !
Qui êtes-vous ?
« Sarah : originaire de Vendée, j’ai travaillé plusieurs années pour Domino’s Pizza. A la suite de formations internes, j’ai évolué au poste de manager de magasin à 19 ans. J’ai remporté le titre de vice-championne de France et la 3ème place en Europe de rapidité lors d’un concours interne. Je suis capable de réaliser 3 pizzas en cinquante secondes. J’ai eu d’autres expériences dans la restauration notamment en tant que second de cuisine. Avant d’arriver à Jallais, j’étais gérante d’une pizzeria à Nantes qui a fermé à la suite de la pandémie.
Nicolas : j’ai toujours travaillé en restauration et eu plusieurs pizzerias en gérance. Suite à ces expériences, j’ai intégré Domino’s Pizza en tant que manager pour assurer les ouvertures de magasins et former les nouvelles équipes à Aigrefeuille, aux Sables d’Olonne et Saint-André-de-la-Marche ».
Comment avez-vous eu l'idée de reprendre ce restaurant ?
« Pour une meilleure qualité de vie, nous sommes venus nous installer à Jallais. De par nos expériences dans le domaine de la pizza et la restauration, c’était une suite logique d’ouvrir notre propre commerce en novembre dernier ».
Que proposez-vous ?
« Nous proposons des pizzas italiennes avec nos propres recettes et la pâte est faite maison. Nos ingrédients viennent principalement du marché. Nous essayons de travailler au maximum avec des producteurs locaux. Prochainement, nous présenterons un plat du jour aux saveurs de l’Italie et de belles planches de charcuterie italienne, tapas à base d’olives siciliennes, poivrons... ».
Comment avez-vous été accueillis dans la commune ?
« Nous avons été bien accueillis et soutenus. Nous souhaitons remercier la commune de Jallais qui nous a accompagnés. On constate une vraie volonté de faire revivre le commerce. Nous remercions les commerçants et artisans de Jallais pour leur aide précieuse. Il y a une belle cohésion entre nous ! ».
Un p'tit + ?
« Pourquoi La Casa ? Nous souhaitons que les clients se sentent comme chez eux. Nous proposons une pizza « La Casa » et une autre nommée « Tu Casa » : Ta pizza chez toi ! »
